LesChronyquesdeRobyn

Ma visyon du cine

Jeudi 31 octobre 2013 à 13:56

 

How I Met Your Mother aura un spin-off : How I Met Your Father

La chaîne CBS compte produire un spin-off de sa sitcom culte «  ».

Cette nouvelle série, actuellement intitulée «  », sera centrée sur un nouveau personnage féminin et son groupe d’amis. Les créateurs de la série originale, Carter Bays et Craig Thomas, vont s’associer avec la créatrice/productrice de la série « Up All Night », Emily Spivey, pour développer ce spin-off.

L’actrice principale du spin-off devrait être introduite dans les épisodes finaux de «  » et des personnages célèbres de la série originale pourraient faire des apparitions en guest stars par la suite.

«  » prendra fin au terme de sa saison 9 au printemps 2014

(Retrouvez cet article sur Actuciné.fr)

Mercredi 30 octobre 2013 à 7:57

http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/imgdelete.png 

ATTILA MARCEL : je voulais voir ce film pour Bernadette Lafont, mais au vue de la bande annonce, je ne tiens pas a payer un ticket de ciné pour ça ..

Bande annonce : --- > ATTILA MARCEL < ---

Lundi 28 octobre 2013 à 21:21

 Voici mon classement réactualisé de mes films favoris.

- Changement de numéro 1, Enter the void detroné par l'entrée fracassante de Gravity qui ne sera pas facile a déloger !.
- Minuit a Paris remonte sur le podium et en chasse Time out qui perd deux places comme Black Swann au profit d'Harry Potter et de Ghisleim Lambert

1.Gravity  ( ENTREE )
2.Enter the Void ( - 1 )
3.Minuit a Paris ( + 2 )
4.Le Monde d Charlie ( = )
5.Time out ( - 2 )
6.Joyeux Noël ( = )
7.Harry potter et les reliques de la mort : 2é Partie ( + 1 )
8.Le vélo de Ghislem Lambert ( + 1 )
9.Black Swann ( - 2 )
10.La Machine a explorer le temps ( = )



A voir sur
--- > SENSCRITIQUE - MON TOP 10 FILM < ---

http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/186734302.jpg
Gravity restera t-il numéro 1 au prochain classement ?

A Suivre...

Dimanche 27 octobre 2013 à 12:01

 http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/imgdelete.png

En attendant mon Top 10 réactualisé ce soir voici mon FLOP TOP 2013


---- > FLOP TOP FILM  < ----

Samedi 26 octobre 2013 à 8:16

 http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/gravityneobotomain.jpg

Notre premier contact avec Gravity s’est effectué dans l’anonymat le plus total, par l’intermédiaire d’une bande-annonce visionnée fin septembre au cinéma. Premières impressions de spectateur impatient de pouvoir voir son film : un concept intéressant, mais deux acteurs un peu à la ramasse. L’un n’avait rien fait de bien transcendant depuis Burn After Reading (2010), l’autre était à l’affiche du potentiel plus gros navet de l’année : Les Flingueuses. Quelques semaines plus tard, le film sort aux États-Unis et pète le box-office dès les premières séances. James Cameron, l’un des maîtres du genre, annonce « le meilleur film jamais réalisé sur l’espace ». Notre curiosité est définitivement titillée, et le 23 octobre, on fait la queue, on achète notre paire de lunettes 3D et on s’installe tranquillement dans un bon gros fauteuil rouge. Les lumières s’éteignent, et le premier écran-titre nous scotche d’entrée :

« Dans l’espace, la température peut varier de -110 à +130 degrés. Dans l’espace, l’absence de matière empêche la propagation du son. Dans l’espace, toute vie est impossible ».

Ambiance.

Une histoire profondément humaine

gravity-neoboto-1

L’espace est donc un environnement inhumain, exempt de vie, de son et de matière. Le vide sonore quasi total de la première scène du film, un plan-séquence de quinze minutes, nous immerge dans le terrible silence de l’univers. Seuls bruitages : quelques respirations sous scaphandre, quelques paroles transmises par radio. Conversations mécanisées, uniques signes de vie dans l’espace. Au cours de l’aventure que vont traverser les survivants de la catastrophe spatiale qui donne sa raison d’être au film, la présence de l’autre (ici, George Clooney) va s’avérer décisive. Si « dans l’espace, toute vie est impossible », les humains qui y transitent sont, eux, bien vivants. À la vacuité de l’espace s’oppose les marques de la présence humaine. Effet de contraste qui amplifie la peur du personnage deSandra Bullock, trace de vie subsistant dans un univers vide et oppressant. Une actrice choisie par le réalisateur pour sa popularité et « dont le visage peut raconter des milliers d’histoires ». Pleine d’humanité, à laquelle on s’identifie facilement. Gravity est un film sur la vie et la mort, centré sur le personnage de Sandra Bullock. Le docteur Ryan Stoneest hanté par la mort de sa fille, qui la rend depuis froide, distante en société, immobile, incapable d’évoluer. Tout au long du film, elle va devoir travailler sur sa peur, se réinventer : renaître spirituellement pour affronter la mort, et éventuellement, pour continuer à vivre. Une transition que le réalisateur symbolise par le scaphandre, une peau dont on peut s’extraire pour changer de vie. Paradoxalement, la carrière d’Alfonso Cuaron est elle aussi faite de plusieurs naissances. De ses premières réalisations au Fils de l’Homme (2006), en passant par Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban (2004), le mexicain qui regrette à un moment de sa vie avoir « essayé de rentrer dans le moule hollywoodien » est passé par à peu près tous les genres, a affronté toutes les épreuves. Sorti au terme de sept ans de mutisme, Gravity est son chef-d’oeuvre.

Une révolution technique

gravity-neoboto-2

Quelle est la raison principale du succès de Gravity ? Réponse : il offre au spectateur un divertissement inédit. Du jamais vu conçu grâce à des techniques qui, avant le tournage, n’existaient même pas. Énorme défi pour l’équipe d’Alfonso Cuaron : recréer l’absence de gravité dans l’espace. Un questionnement technique dément qui a mis plus de quatre ans a être résolu. Filmer devant un fond vert est un premier pas. Fournir des images de synthèse pour l’animer, c’est une autre histoire : « il a fallu que les animateurs oublient tout ce qu’ils avaient appris car il n’y avait ni gravité ni horizon », explique Cuaron. Quand au réel, pour filmer le déplacement des personnages, les techniciens ont eu recours à une installation surréaliste faite de bras mécaniques chargés de déplacer les caméras et les projecteurs, pendant que les acteurs étaient harnachés à l’intérieur d’un cube de trois mètres sur trois. « L’espace est le personnage principal de Gravity », nous dit Cuaron. C’est avec lui que le spectateur interagit grâce à la 3D. Jamais celle-ci n’a été aussi utile et son rendu aussi optimal. Le sentiment d’immersion qu’elle procure au spectateur est totalement inédit. Ce que les vieux Tintin : Objectif Lune et autres 2001 : L’odyssée de l’espace n’ont jamais pu vous faire ressentir, Gravity l’a fait. Avant d’entrer dans la salle, vous ne vous attendez pas à expérimenter d’une manière aussi réaliste les effets physiques de l’absence de gravité sur le corps humain. Pendant le film, vous êtes malmené, pris aux tripes : c’est bien vous, là-haut, qui risquez votre vie. Au-delà de l’aspect technique de la 3D et de son effet immersif, Cuaron se permet quelques idées géniales de mise en scène propres à ce format. Si la plupart des blockbusters utilisent le côté fun de l’outil, le réalisateur l’exploite par exemple pour un instant d’émotion incroyable où une larme en suspension se dirige lentement vers le premier plan.

Le film du siècle ?

gravity-neoboto-3

Un fait est incontestable : Gravity est le film de l’année. À la fin de la séance, le cinéma est redevenu l’échappatoire aussi intense et puissant que l’étaient les dessins animés de votre enfance. À la fin de la séance, vous redevenez tout petit. D’abord, parceque l’univers est grand. Mais surtout parce que vous êtes de retour d’un fabuleux voyage. Les aspects un peu mélodramatiques du scénario sont totalement occultés par le choc visuel et intestinal provoqué par le film. Vous ne vous êtes pas ennuyé une seule seconde ? Vous n’avez pas remis en cause une seule fois la crédibilité de telle ou telle scène ? Vous êtes donc face à un chef-d’oeuvre. Rares sont les films qui procurent un tel sentiment de satiété. C’est d’ailleurs l’avis de plusieurs professionnels du cinéma, James Cameron en première ligne. Le film a entre autres été salué par le compatriote de Cuaron, Guillermo del Toro, mais également par Quentin Tarantino,Michael Moore, ou encore Darren Aronofsky. On retiendra le tweet de Rian Johnson (réalisateur de Looper) : « The filmmaking in Gravity is next level. I had no idea what 80% of the jobs in the end credits were, it made me feel like a kid ». Plus que le film de l’année, Gravity est peut-être le film du siècle. Ou en tout cas, de la décennie. Comme ses illustres prédécesseurs, Gravity est voué à rentrer dans le cercle fermé des oeuvres cultes qui ont révolutionné le cinéma de science-fiction. Star Wars et ses sabres lasers ont bercé la culture geek; Matrix et son bullet time ont fait marqué à vie des millions de pré-adolescents. À l’instar d’AvatarGravity est l’un des, voire le plus grand des films à avoir été réalisé en 3D. Les perspectives cinématographiques qu’il soulève fondent les bases d’une nouvelle génération : après lui, tout va changer.

(Retrouvez cet article sur Neoboto.fr)

Samedi 26 octobre 2013 à 7:18

http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/imgdelete.png 


City of Ashes, la suite de The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres, pourrait être lancée en 2014.

Une semaine après sa sortie française, il est sans doute encore un peu tôt pour juger définitivement du résultat final au box-office de The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres. Mais comme le film n’a remporté pour l’instant que 80 millions de dollars sur la planète pour un budget de 120 (60 pour le film, et pas moins 60 pour la promotion sortis de la poche de Sony), assorti de critiques globalement désastreuses ("On ne nous avait pas précisé qu’il s’agissait d’une parodie de film fantastique", écrit le Boston Globe), Mortal Instruments ne risque pas de rester dans les mémoires et s'en va plutôt rejoindre, loin des cartons Twilight ou Hunger Games, les abysses des échecs des versions cinéma des livres young adult comme Les Ames vagabondes ou Sublimes créatures. A tel point que la suite City of Ashes, prévue si le succès était au rendez-vous, fut vite mise au placard. Pas si vite ! En fait, Mortal Instruments va bel et bien connaître une suite…

"La réaction des fans, dans le blogosphère et à travers les milliers de mails que nous avons reçus, nous encourage à persévérer", raconte à The Hollywood Reporter Martin Moszkowicz, patron de la production ciné au sein de la compagnie allemande Constantin Films et producteur de Mortal Instruments. "Nous allons étudier ce qui n’allait pas avec le premier film -spécialement en matière de positionnement et de marketing- et ainsi voir quels changements nous allons décider. On travaille avec une équipe formidable pour repositionner City of Ashes."D’après Moszkowicz, l’erreur principale vient en effet du marketing trop jeune de La Cité des ténèbres, qui cible un public de teenagers alors qu’il fallait viser plus âgé :"les lecteurs de la série sont plus âgés qu’on ne pense. C’était notre problème de marketing, on s’est trop concentré sur le créneau young adult." On ne parle pas de remettre en cause le scénario, le production design ou la direction d’acteurs. Le succès ou l’échec ne dépendent que du marketing…

Adapté d’une série de romans young adult écrits par Cassandra Clare, le film raconte les combats et les amours de jeunes chasseurs de démons (les Chasseurs d’ombres) dans le côté obscur de New York. Le premier volume de la première trilogie (il y en a quatre en tout), City of Bones (traduit en français sous le titre La Coupe mortelle), a donc été porté au cinéma par Harald Zwart avec Lily Collins,Jamie Campbell BowerLena Headey et Jonathan Rhys-Meyers. La production de City of Ashes (en VF L’Epée mortelle) devrait commencer en 2014 si le projet est confirmé, mais on ne sait pas si le casting du premier film reviendra pour de bon dans la suite.

(Retrouvez cet article sur Premiere.fr)






Jeudi 24 octobre 2013 à 17:12

 http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/186734302.jpg
Une vrai claque monumentale !!!


BANDE ANNONCE VOST

Jeudi 24 octobre 2013 à 8:54

http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/1867343000.jpg 
SYNOPSIS : Ariane Felder, jeune juge aux mœurs strictes, est enceinte. Et le plus sidérant, c’est que le père de l’enfant ne serait autre que Bob, un criminel...


MA CRITIQUE : 
Une comédie comme une autre sans plus, avec des personnages et situations déja vue Mettre plus de 5 a ce film c'est qu'on n'as jamais vue de films de sa vie...


MA NOTE : 4 / 10

Mercredi 23 octobre 2013 à 9:49

http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/imgdelete.png

Voici la bande son du film documentaire sur les sports de glisse : La nuit de la glisse 2013 
La musique ressemble fortement a celle de Sunshine, je l'ai pensé
Mais ça n'est pas le cas 

Musique : SPIRIT OF LIFE
Bande Annonce : IMAGINE


Lundi 21 octobre 2013 à 17:21

http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/kaamelott2kaamelottseriestv.jpg 
(Suite)

Relire la premiere Partie de l'analyse (Lien)

La saison six acheva l'histoire de se roi déchu par une série de neuf épisodes en forme de presquels, 17 ans avant la fondation de Kaamelott ou Arthur n'était qu'un simple soldat romains a Rome.
 
l'auteur veut apporter sa vision de cette célèbre histoire comme l'on fait avant lui les chrétiens de Troie, Monty Python et pleins d'autres dans différents registres (héroïque fantaisie, humour ...).
 
Pour qu'une série marche, ils faut savoir bien s'entourer, trouver les bonnes personnes pour que l'alchimie se fasse. Alexandre n'a pas eu besoin d'aller chercher bien loin puisque son Demi frère, Simon, son père Lionnel Astier et Joël Sevilla sa mère lui donne la réplique dans les rôles d'Yvain le beau frère du roi et de ses beaux parents Léodagan et Séli.
 
Mais ces trois acteurs ne sont pas les seuls qu'il connait, car Alexandre a choisi des acteurs qu'il avait déjà vue au Théâtre ou au cinéma, en réalité aucun n'a passé d'audition hormis Anne Girouard (Guenièvre), Caroline Pascal (Demetra) et Guillaume Briat (le roi Burgonde).
 
Ce choix s’avéra être le bon au vue des audiences exceptionnelles réalisées pour un programme court diffusé au même moment que les grands journaux télévisés de 20h.
 
Dés lors les présences de guest star deviennent de plus en plus fréquentes comme celles de Christian Bujeau (le maître d’armes), suivi de Bruno Salomone (Caius Camillus), François Rollin (Loth, roi d’Orcanie) et Antoine de Caunes (Dagonet) qui integrerent même le casting, ou d'autre tels Alain Chabat, Geraldine Nackache, l'inusable Guy Bedos, Patrick Chesnais, Tcheky Karyo ou le regretté Pierre Mondy pour de citer qu'eux.  Tous n'ayant plus rien a prouver et redonnant encore plus de prestige a la série


http://leschronyquesderobyn.cowblog.fr/images/imgdelete.png

FIN


Auteurs: leschronyquesdeRobyn.cowblog.fr & monptitcinema.cowblog.fr

 
 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | Page suivante >>

Créer un podcast