LesChronyquesdeRobyn

Ma visyon du cine

Dimanche 3 novembre 2013 à 19:08

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Ce film est completement plat, ça manque de rythme, TOUT les acteurs sont transparents et la fin est ....






Stupide .....

Dimanche 3 novembre 2013 à 9:06

 Semaine du 23 au 29 Octobre 2013

Titre Sem. Entrées France Cumul France Copies France
1. Gravity 1 1 493 000 1 493 000 398
2. Turbo 2 911 381 1 599 188 664
3. Malavita 1 471 021 471 021 460
4. 9 mois ferme 2 454 112 1 000 730 406
5. Planes 3 417 239 1 216 839 502
6. Eyjafjallajökull 4 293 582 1 547 987 684
7. Le Coeur des hommes 3 1 265 674 265 674 486
8. L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet 2 226 863 457 353 510
9. Prisoners 3 211 797 858 611 261
10. La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 3 175 238 738 268 396

Samedi 2 novembre 2013 à 15:47

 Daniel Radcliffe n'apparaîtra probablement dans le spin-off des aventures d'Harry.


"Je ne pense pas revenir" a-t-il confié au Hollywood Reporter. "On ne peut pas incarner le même personnage pendant 40 ans, il doit y avoir une limite."

Cependant ...

"Je ne sais pas du tout ce qu'elle va écrire, pour l'instant je suis dans la même position que tout le monde: j'attends d'en savoir un peu plus car je ne sais rien de ces nouveaux films"

Le jeune acteur britannique ne devrait pas se faire tant de soucis: dans une annonce publiée sur Facebook, J.K Rowling donnait quelques détails sur l'histoire de "Fantastic Beats and Where to Find Them" ("Vie et habitats des animaux fantastiques") qui se déroulera à New York, 70 ans avant la naissance d'Harry Potter.

Le scénario s'articulera autour de la vie de Norbert Dragonneau, grand amateur d'animaux fantastiques et auteur d'un manuel scolaire de la bibliothèque de Poudlard.

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(Retrouvez cet extrait d'article sur huffingtonpost.fr)

 

Vendredi 1er novembre 2013 à 17:16


Marion Olité 
 INTERVIEW
 Simon Astier : « J’irai au bout d’Hero Corp »
 
 
 

Entre la fin de la saison 2 sur Comédie ! en janvier 2010 et le début de la saison 3 sur France 4,
Simon Astier a bataillé trois ans pour donner une suite à Hero Corp.
La série s’offre un nouveau format de 7 minutes,
dans une case horaire pour le moins compliquée, à 20h30. Pour Toutelatele,
son auteur revient sur un retour attendu de pied ferme par des fans
qui n’ont jamais cessé de soutenir la série.

 
 

Quel a été le déclencheur pour que cette saison 3 voit enfin le jour ?

L’engouement des fans a été entendu et considéré.
Et puis, après les bonnes audiences des rediffusions marathons de nuit, où on a explosé les scores,
France 4 a décidé de reprendre la série en premier diffuseur.
C’est la première fois en France qu’une série est représentée par ses fans,
et que je vois un diffuseur à leur écoute.
On existe autrement par rapport aux autres. Face à des énormes franchises,
on est tout petit, mais on fonctionne dans l’espace qu’on nous donne.
Les gens nous suivent, c’est une belle histoire. On n’a pas soif de beaucoup d’autres choses.
J’aimerais juste avoir un peu plus d’argent maintenant, pour aller plus loin.
Il nous manque vraiment une stabilité à la télé qui rendrait le projet plus serein,
car c’est une vraie déchirure de ne pas savoir si on reprend 

(Retrouvez cette interview en entier sur le site : toutelatele.com)

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Vendredi 1er novembre 2013 à 13:14

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"Casse tête chinois" est le nouveau film de cedric Klapisch et la suite des "Poupées Russes".On retrouve Xavier qui a cette fois ci la quarantaine et qui as une fois de plus des problémes de coeur.Sa relation avec Wendy la belle anglaise rencontrée lors de son sejour en Catalogne (l'Auberge Espagnole), bat de l'aile et il se rends compte que sa vie passé etait plus simple (oh la la !, arrete de te plaindre !)



Ce film n'as aucun interêt et au vue de la bande annonce qui reprends des situations repris des milliards de fois (homoparentalités, immigration ...)


Pour faire une rime avec le titre
Mr Klapisch ne s'est pas trop cassé la tete pour pondre un tels scénario !


Je prefere rester sur le premier film qui est pour moi une reference idéologique 



Bande annonce : --- > L'AUBERGE ESPAGNOLE 3 < ---

Jeudi 31 octobre 2013 à 13:56

 

How I Met Your Mother aura un spin-off : How I Met Your Father

La chaîne CBS compte produire un spin-off de sa sitcom culte «  ».

Cette nouvelle série, actuellement intitulée «  », sera centrée sur un nouveau personnage féminin et son groupe d’amis. Les créateurs de la série originale, Carter Bays et Craig Thomas, vont s’associer avec la créatrice/productrice de la série « Up All Night », Emily Spivey, pour développer ce spin-off.

L’actrice principale du spin-off devrait être introduite dans les épisodes finaux de «  » et des personnages célèbres de la série originale pourraient faire des apparitions en guest stars par la suite.

«  » prendra fin au terme de sa saison 9 au printemps 2014

(Retrouvez cet article sur Actuciné.fr)

Mercredi 30 octobre 2013 à 7:57

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ATTILA MARCEL : je voulais voir ce film pour Bernadette Lafont, mais au vue de la bande annonce, je ne tiens pas a payer un ticket de ciné pour ça ..

Bande annonce : --- > ATTILA MARCEL < ---

Lundi 28 octobre 2013 à 21:21

 Voici mon classement réactualisé de mes films favoris.

- Changement de numéro 1, Enter the void detroné par l'entrée fracassante de Gravity qui ne sera pas facile a déloger !.
- Minuit a Paris remonte sur le podium et en chasse Time out qui perd deux places comme Black Swann au profit d'Harry Potter et de Ghisleim Lambert

1.Gravity  ( ENTREE )
2.Enter the Void ( - 1 )
3.Minuit a Paris ( + 2 )
4.Le Monde d Charlie ( = )
5.Time out ( - 2 )
6.Joyeux Noël ( = )
7.Harry potter et les reliques de la mort : 2é Partie ( + 1 )
8.Le vélo de Ghislem Lambert ( + 1 )
9.Black Swann ( - 2 )
10.La Machine a explorer le temps ( = )



A voir sur
--- > SENSCRITIQUE - MON TOP 10 FILM < ---

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Gravity restera t-il numéro 1 au prochain classement ?

A Suivre...

Dimanche 27 octobre 2013 à 12:01

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En attendant mon Top 10 réactualisé ce soir voici mon FLOP TOP 2013


---- > FLOP TOP FILM  < ----

Samedi 26 octobre 2013 à 8:16

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Notre premier contact avec Gravity s’est effectué dans l’anonymat le plus total, par l’intermédiaire d’une bande-annonce visionnée fin septembre au cinéma. Premières impressions de spectateur impatient de pouvoir voir son film : un concept intéressant, mais deux acteurs un peu à la ramasse. L’un n’avait rien fait de bien transcendant depuis Burn After Reading (2010), l’autre était à l’affiche du potentiel plus gros navet de l’année : Les Flingueuses. Quelques semaines plus tard, le film sort aux États-Unis et pète le box-office dès les premières séances. James Cameron, l’un des maîtres du genre, annonce « le meilleur film jamais réalisé sur l’espace ». Notre curiosité est définitivement titillée, et le 23 octobre, on fait la queue, on achète notre paire de lunettes 3D et on s’installe tranquillement dans un bon gros fauteuil rouge. Les lumières s’éteignent, et le premier écran-titre nous scotche d’entrée :

« Dans l’espace, la température peut varier de -110 à +130 degrés. Dans l’espace, l’absence de matière empêche la propagation du son. Dans l’espace, toute vie est impossible ».

Ambiance.

Une histoire profondément humaine

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L’espace est donc un environnement inhumain, exempt de vie, de son et de matière. Le vide sonore quasi total de la première scène du film, un plan-séquence de quinze minutes, nous immerge dans le terrible silence de l’univers. Seuls bruitages : quelques respirations sous scaphandre, quelques paroles transmises par radio. Conversations mécanisées, uniques signes de vie dans l’espace. Au cours de l’aventure que vont traverser les survivants de la catastrophe spatiale qui donne sa raison d’être au film, la présence de l’autre (ici, George Clooney) va s’avérer décisive. Si « dans l’espace, toute vie est impossible », les humains qui y transitent sont, eux, bien vivants. À la vacuité de l’espace s’oppose les marques de la présence humaine. Effet de contraste qui amplifie la peur du personnage deSandra Bullock, trace de vie subsistant dans un univers vide et oppressant. Une actrice choisie par le réalisateur pour sa popularité et « dont le visage peut raconter des milliers d’histoires ». Pleine d’humanité, à laquelle on s’identifie facilement. Gravity est un film sur la vie et la mort, centré sur le personnage de Sandra Bullock. Le docteur Ryan Stoneest hanté par la mort de sa fille, qui la rend depuis froide, distante en société, immobile, incapable d’évoluer. Tout au long du film, elle va devoir travailler sur sa peur, se réinventer : renaître spirituellement pour affronter la mort, et éventuellement, pour continuer à vivre. Une transition que le réalisateur symbolise par le scaphandre, une peau dont on peut s’extraire pour changer de vie. Paradoxalement, la carrière d’Alfonso Cuaron est elle aussi faite de plusieurs naissances. De ses premières réalisations au Fils de l’Homme (2006), en passant par Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban (2004), le mexicain qui regrette à un moment de sa vie avoir « essayé de rentrer dans le moule hollywoodien » est passé par à peu près tous les genres, a affronté toutes les épreuves. Sorti au terme de sept ans de mutisme, Gravity est son chef-d’oeuvre.

Une révolution technique

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Quelle est la raison principale du succès de Gravity ? Réponse : il offre au spectateur un divertissement inédit. Du jamais vu conçu grâce à des techniques qui, avant le tournage, n’existaient même pas. Énorme défi pour l’équipe d’Alfonso Cuaron : recréer l’absence de gravité dans l’espace. Un questionnement technique dément qui a mis plus de quatre ans a être résolu. Filmer devant un fond vert est un premier pas. Fournir des images de synthèse pour l’animer, c’est une autre histoire : « il a fallu que les animateurs oublient tout ce qu’ils avaient appris car il n’y avait ni gravité ni horizon », explique Cuaron. Quand au réel, pour filmer le déplacement des personnages, les techniciens ont eu recours à une installation surréaliste faite de bras mécaniques chargés de déplacer les caméras et les projecteurs, pendant que les acteurs étaient harnachés à l’intérieur d’un cube de trois mètres sur trois. « L’espace est le personnage principal de Gravity », nous dit Cuaron. C’est avec lui que le spectateur interagit grâce à la 3D. Jamais celle-ci n’a été aussi utile et son rendu aussi optimal. Le sentiment d’immersion qu’elle procure au spectateur est totalement inédit. Ce que les vieux Tintin : Objectif Lune et autres 2001 : L’odyssée de l’espace n’ont jamais pu vous faire ressentir, Gravity l’a fait. Avant d’entrer dans la salle, vous ne vous attendez pas à expérimenter d’une manière aussi réaliste les effets physiques de l’absence de gravité sur le corps humain. Pendant le film, vous êtes malmené, pris aux tripes : c’est bien vous, là-haut, qui risquez votre vie. Au-delà de l’aspect technique de la 3D et de son effet immersif, Cuaron se permet quelques idées géniales de mise en scène propres à ce format. Si la plupart des blockbusters utilisent le côté fun de l’outil, le réalisateur l’exploite par exemple pour un instant d’émotion incroyable où une larme en suspension se dirige lentement vers le premier plan.

Le film du siècle ?

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Un fait est incontestable : Gravity est le film de l’année. À la fin de la séance, le cinéma est redevenu l’échappatoire aussi intense et puissant que l’étaient les dessins animés de votre enfance. À la fin de la séance, vous redevenez tout petit. D’abord, parceque l’univers est grand. Mais surtout parce que vous êtes de retour d’un fabuleux voyage. Les aspects un peu mélodramatiques du scénario sont totalement occultés par le choc visuel et intestinal provoqué par le film. Vous ne vous êtes pas ennuyé une seule seconde ? Vous n’avez pas remis en cause une seule fois la crédibilité de telle ou telle scène ? Vous êtes donc face à un chef-d’oeuvre. Rares sont les films qui procurent un tel sentiment de satiété. C’est d’ailleurs l’avis de plusieurs professionnels du cinéma, James Cameron en première ligne. Le film a entre autres été salué par le compatriote de Cuaron, Guillermo del Toro, mais également par Quentin Tarantino,Michael Moore, ou encore Darren Aronofsky. On retiendra le tweet de Rian Johnson (réalisateur de Looper) : « The filmmaking in Gravity is next level. I had no idea what 80% of the jobs in the end credits were, it made me feel like a kid ». Plus que le film de l’année, Gravity est peut-être le film du siècle. Ou en tout cas, de la décennie. Comme ses illustres prédécesseurs, Gravity est voué à rentrer dans le cercle fermé des oeuvres cultes qui ont révolutionné le cinéma de science-fiction. Star Wars et ses sabres lasers ont bercé la culture geek; Matrix et son bullet time ont fait marqué à vie des millions de pré-adolescents. À l’instar d’AvatarGravity est l’un des, voire le plus grand des films à avoir été réalisé en 3D. Les perspectives cinématographiques qu’il soulève fondent les bases d’une nouvelle génération : après lui, tout va changer.

(Retrouvez cet article sur Neoboto.fr)

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